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ANALYSE

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La production nostradamique et le seuil de 1559

par Jacques Halbronn

    Il ne suffit pas de montrer que l’on retrouve tel thème dans telle ou telle centurie pour démontrer que l’on a affaire avec le même auteur, dans la mesure où l’imitation vise à faire du Nostradamus et donc à emprunter à ce que l’on croit en être certains traits. Le problème, c’est que le modèle de référence peut lui-même être un faux et l’on aurait alors affaire à des faussaires s’imitant les uns les autres à moins de considérer que le modèle était constitué par les quatrains des almanachs, ce qui serait plus prudent. Or, De Luca ne prend pas cette précaution et n’inclut pas les “Présages” dans sa recension thématique. Mettre en évidence la présence récurrente de ceux-ci n’aboutit, le plus souvent, qu’à faire ressortir les méthodes de travail des faussaires, voire à se mettre dans leur peau.

   Il est bien plus utile de faire ressortir non pas les similitudes mais les différences en tenant compte évidemment du fait qu’un auteur puisse être amené à changer, pour diverses raisons à préciser, son mode d’inspiration, ses perspectives. On ne reviendra pas ici sur les incompatibilités entre textes émanant du camp catholique et textes émanant du camp réformé, en précisant toutefois que l’exégèse consiste parfois à masquer ces incompatibilités ou ces incohérences et pas uniquement à interpréter des quatrains pour prévoir l’avenir.

   L’obstacle épistémologique dans le cas de Michel de Nostredame (MDN), c’est que l’on veut en faire un prophète, ce qui aboutit à gommer la place de l’événementiel historique. Prenons le cas de l’évolution radicale de la situation politique en France, du fait de la mort d’Henri II, en 1559. De deux choses l’une, soit MDN n’avait pas prévu cette mort et par conséquent les textes qui suivront celle-ci seront marqués par la nouvelle donne, soit il l’avait prévue et le fait que certains textes correspondent à cette nouvelle donne ne prouvera pas qu’ils sont postérieurs à la mort du Roi.

   Or, précisément, en insistant sur le fait que MDN avait prévu dans tel quatrain cette mort, conduit, en pratique, à empêcher le chercheur de faire son travail à savoir de dater les textes voire de signaler les interpolations. Il est évident que les faussaires ont largement profité de cette “clef” pour faire passer ce qu’ils voulaient puisque MDN pouvait bel et bien avoir écrit ceci ou cela du fait qu’il était prophète. Il existe donc une contrefaçon du texte prophétique qui offre certaines particularités par rapport à la contrefaçon en général et ce constat explique le retard et le délai dans le champ des études nostradamiques.

   Il semble en effet que pour certains chercheurs, signaler les contrefaçons, c’est ipso facto porter atteinte à l’image de MDN et de fait les contrefaçons auront sensiblement contribué à renforcer la dite image. On est donc dans un cercle vicieux dont certains ne parviennent pas à sortir, nous pensons notamment aux travaux d’un Elmar Gruber ou d’un Patrice Guinard, lequel n’hésite pas, suivant en cela V. Ionescu, à “démontrer” que MDN connaissait, par certains quatrains, la date de la découverte de planètes qu’on ne découvrirait que bien après sa mort.1

   Revenons donc sur la mort inopinée d’Henri II, laquelle généra toute une série de conséquences a priori imprévisibles. Selon nous, la connaissance de ces conséquences serait la marque de textes postérieurs à la dite mort alors que pour d’autres, ce serait la preuve déterminante que MDN est bien prophète. On bascule là dans un dialogue de sourds !

   La première contrefaçon - ou le premier faux, on ne reviendra pas ici sur cette subtile distinction que nous avons introduite2 - à avoir été produite sous la Ligue concernait un texte que MDN aurait publié pour 1561, ajoutant 39 articles à ses Centuries (au nombre de six, selon toutes les apparences). Son texte serait paru à la fin de 1560 ou au début de 1561. Rappelons qu’il y a encore à l’époque la question de la date du début de l’année, le style de Pâques n’ayant été abrogé qu’en 1564, conduisant à changer d’année en janvier. Cette question aura certainement occasionné des difficultés supplémentaires : on pense notamment à la Préface à César datée de mars 1555 et que par la suite on a pu redater de 1556, ce qui expliquerait l’existence d’une fausse édition Sixte Denyse pour 1556 et la présence répétée dans certaines éditions, notamment hollandaises (1667 - 1668) d’une référence à une édition d’Avignon de la même année 1556.

   Donc, le premier faux centurique - puisqu’il ne s’agit même pas ici d’une imitation - aurait visé sagement la période postérieure à la mort d’Henri II : Les Prophéties (...) revues & additionnées par l’autheur pour l’an mil cinq cens soyxante & un de trente neuf articles à la dernière Centurie.

   Ce n’est qu’ensuite que l’on s’aventura à publier des textes attribués à MDN antérieurs à la dite mort et l’on voit que l’enjeu des faussaires devient dès lors de “fonder” le prophétisme nostradamique sur des bases “solides”, l’annonce de la mort du roi.

   Citons à ce propos un passage du récent catalogue de J. P. Laroche, collaborateur de Michel Chomarat :

   “Lors du tournoi du 29 juin 1559, rue Saint Antoine à Paris, devant le Palais des Tournelles, le roi de France Henri II est gravement blessé par le Comte de Montgomery et meurt le 10 juillet suivant. Stupéfaits, les contemporains de ce drame font immédiatement (sic) le rapprochement avec le 35e quatrain de la première Centurie de Nostradamus.”3

   Sur quoi se base J. P. Laroche ? Sur des témoignages d’époque citant ce quatrain ? Sur les éditions des Prophéties datées de 1555 et de 1557, sur les Significations de l’Eclipse de 1559, sur tel almanach pour 1559 ? Le quatrain en question ne semble même pas avoir été associé à la mort d’Henri II dans le Janus Gallicus de 1594 où l’index (“Indice des choses plus mémorables”) nous renvoie, pour la mort du roi, aux quatrains de l’almanach pour 1559, pour janvier, février et décembre plus deux quatrains de la Centurie VI, quatrains 9 et 71, centurie dont nous savons, sur la base du témoignage de Crespin4 qu’elle ne faisait pas partie des sept centuries parues à la mort de MDN, en 1566.5 Le JG ne fait donc nullement référence au quatrain 35 de la Centurie IV qui semble n’avoir avoir été signalé pour la première fois en ce sens que par César de Nostredame, dans l’introduction à son Histoire et Chronique de Provence, Lyon, Simon Rigaud, 1614.

   Reprenons la présentation du JG.

   Indice : “Henry II, Roy de France - (...) Blessé à la teste, (page) 62, meurt 58 & 64, mort grandement plainte, 58 etc.”

   Etudions donc les pièces du dossier, tel que présenté dans le JG

   A - Les quatrains de la centurie VI, placés à la suite l’un de l’autre

   VI, 71
   Quand on viendra le grand Roy a parenter
   Avant qu’il ait du tout l’âme rendue

   Commentaire du JG :
   “Le Roy Henry II rendit l’âme le 10 du présent, 11 jours après sa blessure”

   Rappelons que le quatrain 71 de la VI terminait la centurie VI, dans les éditions parisiennes de 1588 et 1589 surtout pour son dernier verset, selon nous : “D’aigles, Lions, croix, couronne vendue”, et qu’il visait Henri IV, coupable de vendre la couronne à ses alliés étrangers.

   VI, 9
   D’un que l’on grave d’argent, d’or, les medales
   La fin sera en torments bien étranges

   Commentaire du JG :
   “C’est le Roy Henry II. Fin douloureuse non tant au dit Prince qu’à tout le peuple François”

   On notera, à ce propos, que le JG ne se prive pas de répartir les versets d’un même quatrain à des événements différents. E. Gruber, dans son texte paru, sur CURA 26, nous a reproché, abusivement, d’extraire un verset d’un quatrain (IV, 46, deuxième verset : “Garde toy Tours de ta proche ruine”) et exigeait de nous que tout le quatrain fît sens pour le même événement. Or, c’était alors une pratique courante, même si depuis, l’exégèse nostradamique s’est donnée d’autres règles : ne tombons pas dans l’anachronisme ! Bien plus (cf. infra), une partie de verset pouvait être isolée.

   B - Les trois quatrains de l’almanach pour 1559

   Cet almanach pour 1559 va bien entendu retenir toute notre attention car il s’agirait donc là d’un pronostic réussi par MDN à la veille de la mort du Roi.6

   Janvier :
   Plus le Grand n’estre. Pluye au char le cristal
   Tumulte esmeu. De tous bien abondance.
   Razez, Sacrez, neufs, vieux espouvantal
   Esleu ingrat, mort, plaint, ioye, alliance

   Commentaire du JG :
   “Mort du Roy Henry II ceste année, à laquelle succèdent tous préparatifs de trouble etc.”

   Le quatrain restitue bien ce mélange de mort et de joie, du fait que le tournoi se tint dans le cadre de la célébration des alliances entre France et Espagne. D’où le commentaire du JG qui, cette fois, on le notera, ne relie pas les quatrains d’almanachs à une autre année que celles pour laquelle ils sont censés avoir été écrits :

   “Resjouissance entre les Roys & Princes pour leurs nouvelles alliances”

   On notera que ce quatrain singulièrement éloquent est celui de janvier, et qu’il apparaît donc en tête de l’almanach.

   On notera l’importance des points dans les quatrains des almanachs. Ils indiquent le passage à un nouveau pronostic. Selon nous un quatrain d’almanach ne serait qu’un assemblage de présages mis les uns à la suite des autres et séparés par des points ; on retrouve d’ailleurs une telle pratique dans nombre de quatrains de Centuries. C’est ainsi que “Plus le Grand n’estre”, qui est la première moitié du premier verset du quatrain pour janvier, renverrait à la mort d’Henri II et il faudrait traduire par “Le Roy (Grand) n’est plus”. Autrement dit, le verset ne serait pas l’unité la plus petite puisque un verset pourrait lui-même se décomposer en encore plus petites unités que l’on pourrait appeler présages ou si l’on préfère oracles.7 Ces micro-unités s’apparentent aux oracles figurant dans les colonnes du calendrier ainsi qu’aux textes figurant dans les Prophéties Perpétuelles et dont Couillard, dans ses Prophéties (1556) donne quelques exemples. D’ailleurs le JG ne commente pas les versets comme étant d’une seule pièce. Il lui arrive, en utilisant les premières lettres de l’alphabet, d’articuler un commentaire sur une partie seulement du verset et de renvoyer l’autre partie du même verset à un autre événement, pour une autre époque.

Première Face du Janus François (p. 58)

Illustration du découpage à l’intérieur d’un verset
(Première Face du Janus François, p. 58)

   Février :
   Grain corrompu. Air pestilent. Locustes
   Subit cherra (tombera), nove nouvelle naistre
   Captifs serrez

   Commentaire du JG :
   “Cheute du mesme Roy apres laquelle les jadis captives porteront les armes & suivront de grandes mutations”

   Décembre :
   La ioye en larmes viendra captiver Mars
   Devant le Grand seront esmeus Divins

   Commentaire ou plutôt paraphrase du JG :
   “La blessure du Roy receue à la teste, le dernier de ce mois convertit en un moment la publique joie en une infinie & incroyable tristesse”

   La question qui vient aussitôt à l’esprit est la suivante : sommes-nous en face d’un almanach authentique ?8

   Nous avons déjà signalé le cas des Significations de l’Eclipse de 1559 dont la contrefaçon visait à attribuer à MDN l’annonce de la mort du Roi, suivant en cela le pronostic de Leovitius, dans l’Eclipsium, lui-même fondé sur une erreur de lecture des Ephémérides.9 On a également constaté que les almanachs ne constituaient nullement un secteur au dessus de toute soupçon et que les éditions des Centuries n’étaient pas les seuls documents constitutifs de la littérature pseudo-nostradamienne.10

   Signalons qu’il existe une traduction anglaise de cet almanach pour 1559 avec ses quatrains11 et que le RPP comporte ces quatrains avec ses commentaires12, auxquels s’ajoutent les observations en marge de Chavigny, beaucoup moins explicites d’ailleurs regardant la mort d’Henri II que dans le Janus Gallicus. C’est ainsi que pour le morceau du verset du quatrain de janvier 1559 - “Plus le Grand n’estre”, il ne renvoie pas dans le RPP à la mort d’Henri II au point que l’on puisse se demander s’il s’agit du même commentateur que dans le JG.

   En définitive, la lecture du RPP, tant du corps du texte de l’almanach que des observations marginales, ne nous conduit pas nécessairement à penser qu’il s’agisse d’une contrefaçon. Et pourtant, on trouve même pour le mois d’Octobre une apparente allusion aux Bourbons : “Les trois grands hors le Bon-Bourg sera loing” mais il s’agirait d’une allusion à un certain Du Bourg.13

   On serait ainsi en présence du seul produit de l’exégèse, sans recours à une contrefaçon, du fait du JG visant à laisser croire que MDN avait bien annoncé la mort d’Henri II, probablement parce que certains aspects du dit almanach n’allaient précisément pas dans ce sens et il est vrai que la mort d’un Roi est un fait assez banal, à l’échelle de l’Europe. Est-ce qu’une telle intention de la part du JG d’apporter une preuve plus tangible des facultés prophétiques de MDN n’aurait justement pas conduit à mettre en chantier une contrefaçon des Significations de l’Eclipse de 1559, dont nous pensons qu’a pu exister un original, précisément par trop insuffisant au regard du caractère tragique de cette année là ? Il s’agirait donc d’une contrefaçon, comportant l’interpolation léovitienne, et non d’un faux, le faux n’existant que s’il n’y a pas d’original.

   Pour en revenir à notre argument initial concernant la mort du Roi, nous pensons que les quatrains qui font trop explicitement référence à des événements postérieurs à cet événement ne peuvent lui être antérieurs. C’est notamment tout ce qui a à voir avec les Guises et avec les Lorrains en général et qui ne débute réellement, dans le paysage politique français, qu’avec l’avènement du premier fils d’Henri II, François II, bref règne qui précède la régence de Catherine de Médicis, le fils suivant, Charles IX, n’étant pas encore en âge de régner pleinement, en 1561, étant né en 1550. C’est pourquoi, si l’on peut admettre a priori la validité de la centurie VII, après 1560, on ne peut l’accepter pour 1557. Or, cette même centurie VII figure dans les éditions Antoine du Rosne, datées de cette année là. Il y a là une erreur des faussaires qui ont voulu en faire un peu trop, mais l’enjeu était d’importance puisqu’il s’agissait de faire de MDN le prophète de la période de troubles faisant suite à la mort d’Henri II et notamment concernant l’émergence tout à fait extraordinaire des Guise, comme principale conséquence de la dite mort. La contrefaçon de la Prognostication pour 1562, Paris, Barbe Regnault, s’inscrit dans cette optique14 : en retouchant l’Epître de MDN, de 1561, qui concernait un passage de ses almanachs ou de ses prognostications pour y placer un quatrain (III, 55) des Centuries15 pouvant annoncer la mort d’Henri II mais aussi bien celle du duc de Guise en 1588.16 :

   “Lors qu’un oeil en France régnera
   Et quand le grain de Bloys son ami tuera.“

   qu’il faudrait probablement lire :

   “Et quand le Grand (le Roy) à Blois, son ami (le Duc) tuera.”17

   Mais pour cela, encore fallait-il laisser supposer que le dit quatrain était paru avant la dite mort, déjà ancienne, à vrai dire, donc avant 1559, d’où l’importance stratégique de l’édition des Centuries en date de 1557, donc antérieure aux événements tragiques qui, par un étrange concours de circonstance, allaient s’aggraver - et cela était encore moins prévisible - par le fait que les quatre fils du défunt ne donneraient aucun successeur aux Valois, lesquels étaient eux-mêmes parvenus au trône, en 1328, dans des circonstances assez proches, avec l’extinction de la ligne directe des Capets, après la mort de Charles IV le Bel. Ce qui était encore moins prévisible, avant 1559, c’est que le successeur des Valois serait un réformé. On se rend compte ainsi de la gageure qu’il y avait à faire de MDN le prophète d’une époque aussi incroyablement troublée. Il fallut beaucoup d’ingéniosité, reconnaissons-le, pour y parvenir. Mais si Henri II n’était pas mort stupidement en 1559, rien de tout cela ne serait arrivé et MDN aurait probablement été oublié. Il fallait un prophète de ces troubles inouïs, ce sont les troubles qui suscitent les prophètes et / ou qui conduisent à en fabriquer.

   C’est ainsi que pour réaliser ces contrefaçons antérieures à la mort d’Henri II, il fallut se servir de textes publiés par MDN et les retoucher en remplaçant notamment une partie de leur contenu par des quatrains censés annoncer la mort du Roi, comme dans la Centurie VI encore que des morts de roi, il n’en manque pas, à commencer par celle d’Henri III, de la main du moine Jacques Clément, à Saint Cloud, qui déclenchera définitivement la crise dynastique (cf. supra). Il est possible, d’ailleurs, que tel quatrain censé annoncer la mort d’Henri II ait resservi pour celle, tout aussi violente, d’Henri III. En effet, les troubles ont un air de famille, ce qui permet à un quatrain de resservir périodiquement. On peut se demander pourquoi on ne s’est pas contenté de l’almanach pour 1559 qui faisait somme toute assez bien l’affaire, au prix de quelques commentaires bien amenés, et qui avait le mérite de l’authenticité. En définitive, ce n’est pas tant la mort d’Henri II qui était en cause, c’était le destin des Guise et des Lorraine - eux qui se disaient descendants des Carolingiens - qui, à un certain moment, ne briguèrent rien de moins, que de succéder aux Valois18 en prenant de vitesse les Bourbons.

Jacques Halbronn
Paris, le 28 juillet 2003

Notes

1 Cf. son étude sur le Site du CURA. Retour

2 Cf. notre étude sur Nostredame.chez.tiscali.fr. Retour

3 Cf. Prophéties pour temps de crise. Interprétations de Nostradamus au fil des siècles, Fonds Michel Chomarat de la Bibliothèque municipale de Lyon, Roanne, Mémoire Active, 2003, p. 41. Retour

4 Cf. nos Documents inexploités sur le phénomène Nostradamus, Feyzin, Ed. Ramkat, 2002. Retour

5 Cf. notre étude sur “la centurie VI”. Retour

6 Cf. B. Chevignard, Présages de Nostradamus, Paris, Ed. Seuil, 1999. Retour

7 On y reviendra dans une prochaine étude sur Nostredame.chez.tiscali.fr. Retour

8 Cf. sur ce sujet notre Texte Prophétique en France (TPF), Volume III, et prochainement, “Lire les Centuries”, chapitre I. Retour

9 Cf. à ce sujet les travaux de Van Berkel. Retour

10 D’où le terne “nostradamique” pour désigner indistinctement le vrai et le faux Nostradamus, qui fut choisi, à notre instigation, dans le titre du Répertoire Chronologique Nostradamique, Paris, Trédaniel, 1990. Retour

11 Cf. An Almanack for the year (...) 1559, Londres, Bib. Henry Huntington, San Marino, Californie. Retour

12 Cf. B. Chevignard, Présages de Nostradamus, op. cit., pp. 326 et seq. Retour

13 Cf. R. Benazra, RCN, op.cit., p. 188. Retour

14 Cf. Gruber, texte paru sur CURA, 26. Retour

15 Cf. M. Chomarat, Bibliographie Nostradamus, Baden-Baden, 1989, p. 36. Retour

16 Comme le laisse entendre le JG, n° 134. Retour

17 Cf. notre réponse aux textes parus sur CURA, 26 et le TPF, vol III, p. 973. Retour

18 Cf. notre étude sur la Centurie VI. Retour



 

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